Le succès mondial de Demon Slayer n’est pas seulement dû à son histoire captivante, mais aussi à la qualité exceptionnelle de son animation, réalisée par Ufotable.
Cependant, à mesure que l’industrie de l’animation japonaise se développe, les conditions de travail dans certains studios, comme MAPPA, sont devenues un sujet de controverse. En 2023, MAPPA a été critiqué pour avoir exercé une pression excessive sur ses employés, les obligeant à travailler de longues heures, ce qui a eu un impact sur la qualité de productions telles que la saison 2 de Jujutsu Kaisen.
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La perspective de Yuma Takashi : Un équilibre entre productivité et bien-être
Yuma Takashi, le producteur de Demon Slayer, lors d’une récente interview, a partagé ses réflexions sur la manière dont Ufotable gère ses animateurs. Il insiste sur le fait que, bien que l’objectif principal soit de créer des animes divertissants et visuellement impressionnants, il est crucial de se rappeler que les animateurs sont des êtres humains. Takashi souligne l’importance de maintenir un rythme de travail sain, permettant des pauses régulières et assurant ainsi le bien-être des équipes. Cette gestion des ressources humaines chez Ufotable contribue non seulement à la santé des animateurs mais également à la qualité constamment améliorée de leurs animations.
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Les défis chez MAPPA et les leçons à tirer
Contrairement à Ufotable, MAPPA a récemment fait face à des critiques concernant la gestion de ses animateurs. Les conditions de travail rigoureuses rapportées ont non seulement affecté le bien-être des employés mais aussi la qualité de leurs productions animées, comme en témoigne la saison 2 de Jujutsu Kaisen. La suggestion de Takashi pour une meilleure intégration des pratiques de bien-être pourrait être une leçon précieuse pour MAPPA. En adoptant une approche similaire à celle d’Ufotable, MAPPA pourrait non seulement améliorer le moral de ses troupes mais également la qualité de ses futurs projets animés.
Vers un avenir plus lumineux pour les animateurs
Il est essentiel pour l’avenir de l’animation japonaise que les studios prennent en compte les retours de leurs pairs et adaptent leurs méthodes pour assurer un environnement de travail sain. Les commentaires de Yuma Takashi offrent un modèle que d’autres studios pourraient envisager de suivre, mettant l’accent sur la qualité plutôt que la quantité et sur le bien-être des animateurs avant tout. En faisant cela, des studios comme MAPPA pourraient non seulement regagner la confiance des fans mais aussi produire des animations qui sont durables et respectées à l’échelle mondiale, tout en préservant la santé de ceux qui sont au cœur de cette industrie.
